Ludmila Constant peintre

Lorsque nos ancêtres affamés ont descendu de leur arbre dans les hautes herbes de la savane ils étaient obligés se redresser sur les pattes arrière pour mieux voir la proie. Mais cette posture diminuait leur agilité et la vitesse de leur déplacement. . Les pauvres bougres auraient fini morts de faim sans le miraculeux cadeau de la mère Nature : leur cerveau s'est mis à croître énormément ,ce qui a fait de l'homme , en principe, un animal le plus intelligent de la planète.
Si cela ne se voit pas vraiment, c'est parce que pour fonctionner, procurer notre pitance et se reproduire nous n'utilisons qu'un tiers de notre matière grise. Le reste ne sert à rien.
Les rares individus, qui arrivent y faire mieux, comptent peu pour le niveau intellectuel de l'espèce et n'ont pas d'influence sur la société humaine.
L.